
VENDREDI 3 AVRIL
LA MUSIQUE FRANÇAISE AU DÉBUT DU XXÈ SIÈCLE
20H30 – OPÉRA GARNIER
Venu très jeune des États-Unis, Nicholas Angelich a été le disciple d’Aldo Ciccolini au Conservatoire de Paris. Il en a appris les subtiles couleurs françaises. Les Préludes de Debussy sont comme des tableaux dont les titres ne sont donnés qu’à la fin, comme pour continuer de rêver. Chez Ravel, le mouvement l’emporte : celui des valses lentes ou rapides. C’est en tournant sur soi-même que l’on sent l’ivresse de la musique monter.
Photo ©Jean-François Leclercq/Erato
Claude Debussy
Douze Préludes, Premier Livre
Maurice Ravel
Valses nobles et sentimentales / La valse
Nicholas Angelich, piano